Concrètement, il s’agit de créer des projets les plus « développement durable » possibles (d’où la baseline « Low carbon landscape »), orchestrés autour des axes suivants :

• Gestion alternative des eaux pluviales avec prise en compte des épisodes extrêmes de plus en plus fréquents, en respectant la trame bleue (non-entrave et facilitation des flux d’eau, de la connexion des réseaux, du retour à la terre et, par-là, amélioration de la biodiversité)
• Choix des végétaux les plus adaptés à chaque situation pour faciliter l’usage et l’entretien, tout en ayant des projets visuellement qualitatifs et répondant aux besoins de valorisation de la biodiversité (qualité visuelle pour plus de biophilie, majorité de plantes locales, gestion différenciée et optimisée)
• Respect des trames brune et noire (attention aux sols, à leur équilibre écologique et à leur biodiversité ; création ou aménagement de couloirs de déplacement nocturne des animaux, étude précise des lumières et du paysage nocturne)
• Projets bas carbone avec réutilisation et valorisation des matériaux (procédures CtoC – cradle to cradle), grâce au recours à des matériaux recyclés ou recyclables, voire réutilisables tels quels une fois le projet en fin de vie
• Projets respectueux aussi des spécificités et des attentes sociales dans la zone considérée, afin d’accompagner au mieux les utilisateurs dans des projets les plus biophiliques possibles, c’est-à-dire bénéficiant au quotidien à l’équilibre et à la santé physique et mentale de chacun (environnement vert, vue sur la végétation, etc.).